À propos de l’auteur :

« Les sept morts d’Evelyn Hardcastle » est le premier roman de Stuart Turton, un journaliste freelance qui vit à Londres. Son roman à été venu à plus de 150 000 exemplaires en Grande-Bretagne et à remporté le prix Costa du meilleur premier roman en 2019.

Une découverte pour moi :

Ce roman à été une magnifique découverte pour moi comme pour beaucoup d’autres lecteurs à mon avis étant donné qu’il s’agit du premier roman de l’auteur. 

En espérant que ce ne soit pas le dernier ! 

En résumé :

Vous aimez résoudre des énigmes ? 

Alors je ne peux que vous conseiller de lire ce livre car, au détour de chaque pages se cache une multitude d’énigmes plus incompréhensibles les unes que les autres ! 

A vous de tenter de les résoudre dans un décor exceptionnellement bien pensé : 

* Blackheath, un vieux manoir délabré, 

* Une famille, les Hardcastle, tellement mystérieuse, 

* Une soirée, un bal, 

* Des invités très étranges et dissimulant moult secrets, 

* Un médecin de peste intriguant, 

* Un valet de pied effrayant.

Certains de ces invités ont pour mission d’élucider un meurtre qui n’a pas encore eu lieu. Ou peut-être que si ? On ne sait plus trop quoi penser lorsqu’une journée recommence encore et encore …

Quel est donc le seul moyen de sortir de cette boucle temporelle ? 

Découvrez le en dévorant le chef d’oeuvre de Stuart Turton !

Mon avis :

Pour commencer je me dois d’être honnête avec vous, la première chose qui m’a attiré sur cet ouvrage est sa couverture. Je la trouve tout simplement sublime ! Et, après avoir lu le roman, on comprend la signification de chaque symbole y figurant. 

Ensuite, le résumé est très très intriguant, il faut l’avouer ! Celui ci-dessus est un résumé que j’ai écrit moi-même, voici celui figurant sur la quatrième de couverture : 

« Ce soir, à 23 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Dans cette luxueuse demeure anglaise, qui à intérêt à la tuer ? AIden Bishop à quelques heures pour découvir l’identité de l’assassin et empêcher le meurtre. Tant qu’il n’y parvient pas, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d’Evelyn Hardcastle.

Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n’en avez pas connu depuis longtemps ? Plongez dans ce labyrinthe des délices. Chaque personnage, chaque recoin obscur de la propriété cache un mystère. Chaque page ou presque offre un rebondissement inattendu. Et il y a 500 pages. »

J’ai donc commandé cet ouvrage qu’il me tardait de découvrir. Et je n’ai pas été déçue !

Lorsque je me suis plongée dans l’histoire, autant vous dire que j’étais dans le brouillard le plus complet étant donné son résumé énigmatique. Et ce n’est pas le début du récit qui m’a permit de m’en sortir, je me suis sentie perdue mais, en même temps, il m’était impossible de me résoudre à lâcher ce roman car je voulais savoir. Savoir qui était cet homme qui s’est réveillé seul dans une forêt avec pour seul souvenir, un prénom : Anna. Savoir ce qui allait vraiment arriver à Evelyn. Savoir ce que me réservait les recoins de Blackheath. 

Tout est tellement bien construit que l’on s’y croirait pour de vrai. En effet, tout au long de l’histoire, je ne pouvais que visionner les lieux que ces personnages formidables ont foulé : le manoir, les écuries, le lac, le hangar à bateaux, …

Le meurtre que les protagonistes cherchent à résoudre est tellement complexe que tout le monde semble coupable. 

Des scénarios prenaient forme dans mon esprit sans pour autant s’avérer être les bons. 

Je me suis attaché à certains personnages tandis que d’autres m’ont déçue de par leur manière d’être : la nature humaine est habilement décortiquée ici et utilisée pour meubler l’intrigue. 

Pour terminer :

En deux mots : CHEF D’OEUVRE !

J’espère sincèrement que ce ne sera pas le dernier roman de Stuart Turton !

Bisous, bisous 💋